Mouvement minimaliste ou solution post crise des « subprimes » en 2008 pour se loger / se reloger à moindre coût. Est-ce un vent de liberté ou un acte de résistance ? A chacun ses préférences !
Sans conteste pour les étudiants un choix de qualité et de mobilité lors de leurs études.
 
Pour ceux qui ne veulent plus s’endetter 20, 30 ans auprès des banques pour leurs résidences principales, c’est un choix de raison.
 
Avec ou sans enfants, célibataires et couples s’y retrouvent sur tous les plans.
 
Le budget associé à ce type de projet tourne autour de 13 à 40 mille euros. (hors location terrain).
 
Le phénomène se démocratise et on en trouve pour tous les goûts, du confort spartiate au tiny house de luxe, bourrée de technologie, …optimisation de l’espace, matériaux éco-durables.
 
Ces types d’habitat semblent bien cocher toutes les cases et se construisent comme elles se montent en moins de 3 mois. 
 
Mais il y a forcément une ou des contrainte(s) me direz-vous ?
 
Oui, naturellement comme dans tout type projet :
 
– celle de l’isolation pour éviter les déperditions de chaleur (ponts thermiques),
– celle de renouveler la location du terrain ou de l’emplacement
– celle de l’alimentation et de l’évacuation des eaux vannes et usées
– celle du poids qui ne doit pas excéder 3.5 T selon les lois françaises.
 
Il a tout même les arguments pour plaire ce concept, loin des caravanes d’antan et tout aussi mobile. Suffisamment pour intéresser IKEA et d’autres industriels et PME pour investir ce créneau qui ne cesse d’évoluer.
 
Si la lecture vous a mis en appétit, renseignez-vous et vous serez agréablement surpris en France comme en Europe :